Le chasseur innocent qui passe à portée de la maison, subit la vindicte de ma douce, plus douce du tout en l'occurrence. Le pauvre se défend comme il peut « Mais... Mais puisqu'on vous dit... Mais c’est pour réguler... Mais... Mais madame... » Rien n'y fait, sous le feu des quolibets et remontrances, le porte-fusil bat en retraite en bougonnant et va plus loin. Encore une victime de ce sport cruel : le mitraillage de chasseur à l'insulte.