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  • Les Nefs de Pangée - une lectrice au fil de tweeter.

    Très heureux de l'apparition du mot "poétique" pour qualifier mes "Nefs". Parce que j'ai essayé, justement, qu'elles le soient.

  • 2965

    P : Elle devinait les moments où il fallait me laisser seul.

    E (chantant) :
    Je la revois.
    Sous la fenêtre, les courbes imbriquées
    Les briques des os et des muscles
    Sur ces arches, des salves de lumière
    Ou des matins frêles

    P : Oui.

    E et P (ensemble mais mal accordés) :
    Et ta main, ton œil
    Dans ce simulacre
    Épousaient cette route
    Et ta main, ton œil
    Délayaient une ombre sous le sein
    Jetaient un éclat sur la hanche

    P : Je faisais de beaux nus. Les beaux nus qui plaisaient à ma maman. C'était rassurant. Mais regarder l'horizon de sa vie en se disant qu'on ne fera que ça jusqu'à la mort : fatal, désespérant, je ne sais pas si les gens se rendent compte.