Cet instrument de musique à deux manches était parfaitement adapté aux partitions virtuoses de Samuel Gravet, grand compositeur. La première version du Céladon vertical -selon le nom que lui donna son inventeur Nicolas Céladon Parturian- date du milieu du siècle dernier, mais sa forme définitive est due à son fils Jérémie Céladon Parturian-Brelon, apothicaire de son état, néanmoins mélomane et inventeur discret. C’est d’ailleurs ce même Parturian-Brelon qui imagina de piler l’antimoine natif pour l’incorporer à la saumure d’Amboise, créant le fameux baume de Gênes que, mesdames, vous savez si bien utiliser lorsqu’il fait froid dehors. Le céladon fonctionne également selon le principe des cordes sympathiques, qui vibrent ensemble n’est-ce pas, aussitôt qu’on les sollicite, provoquant des harmoniques complexes à l’unisson, caractéristique qui ne pouvait que plaire à Samuel Gravet. Samuel était au faîte de sa gloire lorsqu’il découvrit le céladon ici présent, offert par son inventeur, admirateur de ses créations, et qui le suppliait d’essayer cette nouvelle forme de lyre. Samuel effleura quelques cordes et le son qui s’éleva ne lui plut guère immédiatement, il faut bien le reconnaître. Cependant, une lettre accompagnait le cadeau et la femme de Gravet, Esmeralda de Boïeldieu, l’ouvrit devant lui et la lut à son mari. La lettre expliquait que cet instrument de musique à deux manches était parfaitement adapté aux partitions virtuoses de Samuel Gravet, grand compositeur. La première version du Céladon vertical -selon le nom que lui donna son inventeur Nicolas Céladon Parturian- date du milieu du siècle dernier, mais sa forme définitive est due à son fils Jérémie Céladon Parturian-Brelon, apothicaire de son état, néanmoins mélomane et inventeur discret. C’est d’ailleurs ce même Parturian-Brelon qui imagina de piler l’antimoine natif pour l’incorporer à la saumure d’Amboise, créant le fameux baume de Gênes que, mesdames, vous savez si bien utiliser lorsqu’il fait froid dehors. Le céladon fonctionne également selon le principe des cordes sympathiques, qui vibrent ensemble n’est-ce pas, aussitôt qu’on les sollicite, provoquant des harmoniques complexes à l’unisson, caractéristique qui ne pouvait que plaire à Samuel Gravet. Samuel était au faîte de sa gloire lorsqu’il découvrit le céladon ici présent, offert par son inventeur, admirateur de ses créations, et qui le suppliait d’essayer cette nouvelle forme de lyre. Samuel effleura quelques cordes et le son qui s’éleva ne lui plut guère immédiatement, il faut bien le reconnaître. Cependant, une lettre accompagnait le cadeau et la femme de Gravet, Esmeralda de Boïeldieu, l’ouvrit devant lui et la lut à son mari. La lettre expliquait que cet instrument de musique à deux manches était parfaitement adapté aux partitions virtuoses de Samuel Gravet, notre grand compositeur.
Commentaires
C'est de toi ça ?
Ben oui (c'te question !). Tous les textes ici présentés sont de ma pomme. Dans ce style j'en ai un autre, mieux fait, mais il a été écrit pour un ami, il faudrait que je lui demande l'autorisation.