De ce milieu provincial qui méprise la littérature et adule la réussite (soit l'exact opposé de ma morale), me viennent, à chaque relation dans Le Figaro, des saluts, des félicitations, des appels du pied. J'aimerais juste qu'ils poussent l'enthousiasme jusqu'à me lire, et saisissent alors comment je peux recevoir l'artificialité de leur intérêt soudain. Mais faut pas rêver.
Commentaires
J'ai beaucoup aimé ce que vous allez écrire.
"Pourquoi est-ce qu'on ne réalise les choses que lorsqu'il est trop tard ?" ....
:-(