« Faisons table rase du passé ! » clamait-il. Et puis, il fit lui-même partie du passé, et disparut sans laisser de traces.
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« Faisons table rase du passé ! » clamait-il. Et puis, il fit lui-même partie du passé, et disparut sans laisser de traces.
Commentaires
Il faut se méfier des mots Parfois ils se prennent au je(u) Je suis restée un bon moment à méditer sur cette description de la destinée humaine , coincée entre sourire superficiel et frisson sciencefictionnesque (disparaître oui mais où???)
Dans les vagues d'une chevelure de feu....?
Dans Ses divines plaies.....ou sous le manteau de ma Mère
A part là aucun endroit n'est sûr
S'enfermer pour toujours dans un château de larmes.... je me demande si vouloir le bonheur n'est pas une façon d'appeler l'enfer.....
Ça l'est forcément si on ne le cherche pas au bon endroit.