Le cœur, muscle involontaire, ignore même la destruction la plus manifeste. Obstinément, il pulse son énergie dans les cous égorgés, les torses démembrés, les jambes pulvérisées. Elle doit insister, la mort, pour le convaincre de cesser de battre. Ce n'est pas qu'elle gagne, à la fin, c’est juste que le cœur, enfin, se raisonne.