Arrivé à un ami : Très agaçant de taper son code secret, tandis qu’on sent un regard par-dessus son épaule. S.** manipulait le clavier du distributeur quand il sentit très proche –trop proche- le souffle d’un inconnu derrière lui. Le cœur battant, parcouru de rage électrique, S ;** s’exclame : « Je peux faire mon code tranquille, oui ? » en se retournant, pour découvrir instantanément… un type en épaisses lunettes noires, une canne blanche à la main. Mine déconfite de S.**. L’aveugle : « Mais j’en ai rien à foutre de ton code, moi ! ». Grand moment de solitude.