Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Adrénaline

Il la fallait, elle était nécessaire, que serait une opération menée sans brutal suspens à la fin, sans montée subite d'adrénaline ?

Samedi était le jour de réception du BAT (Bon à Tirer), ultime étape avant l'impression. Le moment des dernières corrections, où l'on ne débusque pratiquement plus aucune faute, tant elles ont été chassées dans les séances de lecture préparatoires.

Je reçois donc la maquette au format pdf et là, dequoidequ'estcequemaperçois-je ? la maquette a été montée avec une version non-corrigée du texte. Je bondis sauvagement sur le téléphone pour joindre Jean-patrick. Nous vérifions ensemble : c'est bien la version corrigée qu'il a fait parvenir à l'imprimeur. En fait, une toute première version avait été envoyée, dès septembre, pour que l'éditeur se "fasse une idée". c'est cette version retravaillée chez l'imprimeur (c'est-à-dire débarrassée des coquilles typographiques) qui avait été utilisée.

Comment ai-je reconnu la mauvaise version ? Vous vous souvenez peut-être du changement de nom du personnage principal ? Azer devenu Azert ? Dans la version que j'avais sous les yeux, c'est ce bon vieux Azer qui, dès la première page, lustrait ses chaussures.

Tout est rentré dans l'ordre, nouveau point avec Jean-Patrick samedi, relectures samedi et dimanche à la maison... C'est reparti !

Plus que quelques jours.

Commentaires

  • Ton histoire personnelle est remplie de "coquilles" avec les imprimeurs. Mais si tout est rentré dans l'ordre, nous sommes rassurés. J'espère que ces quelques jours ne seront pas trop synonymes d'insomnie pour toi. Bonne soirée.

  • Tout va bien, nous sommes dans les temps.
    Cette histoire de coquilles rappelle la mésaventure de Rosny-Aîné qui, un jour, publia dans son journal un article amusant sur les meilleures fautes d'impression de ses textes. Cela s'intitulait "Mes belles coquilles".
    Quand l'article est sorti, il manquait, dans le titre, la lettre "Q".

  • Tout va bien, nous sommes dans les temps.
    Cette histoire de coquilles rappelle la mésaventure de Rosny-Aîné qui, un jour, publia dans son journal un article amusant sur les meilleures fautes d'impression de ses textes. Cela s'intitulait "Mes belles coquilles".
    Quand l'article est sorti, il manquait, dans le titre, la lettre "Q".

Les commentaires sont fermés.