Comme il arrive parfois, Kronix va espacer ses rendez-vous. D'autres chantiers d'écriture prennent le pas sur celui-là, pourtant aimé et important (je parle pour moi). De rares billets paraitront donc de temps à autre, comme au hasard, selon l'instant.
Je laisse aussi quelques mots pour des proches dans l'angoisse en cette fin d'année.
Sans aucun rapport, mais parce que j'ai promis de vous tenir au courant : Un nouveau refus d'une belle maison d'édition ("La Brune" au Rouergue) me donne paradoxalement de l'espoir : c'est un de ces refus argumenté, complet, agrémenté de vrais regrets, qui ne vous abat pas mais vous enfle d'orgueil.
Je sais aussi que je reprendrai Kronix à au moins deux occasions prochaines : ma rencontre avec les élèves de Laurent Cachard et la sortie imminente de "Christine Muller, la débarrassée", premier livre important sur cette artiste qui, quel que soit votre état de morosité et de lassitude, vous ensoleille et vous dynamise en quelques minutes de présence.
Enfin, il est évident que l'actualité politique pourrait alimenter des chroniques quotidiennes mais là, je suis fatigué de m'être égosillé à hurler au loup. Maintenant que le loup est entré et saccage tout, j'ai envie de dire : "démerdez-vous". Je sais, je n'ai pas bon fond.
A bientôt. Courage.
Commentaires
Compréhensible. Il y a des priorités et, puisque c'est inscrit dans le Psychopompe, il faut savoir cesser de donner des perles aux pourceaux. Eh, les pourceaux, ce n'est pas nous! Ce sont qui ne te lisent pas ici.