Tellement exaspérée de son insignifiance qu'elle se mit à aboyer dans le bureau ; on ferma la porte. Elle courut dans le couloir nue en hurlant une tyrolienne ; on observa la météo, dehors. Enfin, elle imita en rampant une énorme araignée. On l'écrasa.
Commentaires
Une parabole d'actualité...beaucoup d'araignées écrasées dans les couloirs de mon entreprise.
Grrrr, ça donne envie d'écraser les écraseurs. Mais on n'en finirait pas. Quoique...