Ce billet n'existe pas. Il a été écrit ultérieurement à sa date de parution, paradoxe temporel permis par le web. Ce billet n'a d'ailleurs rien à dire, rien à prouver, il ne paraît aujourd'hui que par peur du vide laissé dans un calendrier autrement parfaitement comble. C'est fait, il ne sera pas dit que Kronix était épuisé au point de négliger cet aspect essentiel de sa forme : l'obstination du diariste. Enfin, tout de même, si : son style trahit la fatigue, je l'admets.