Tant pis, nous resterons à l'abri. Tant pis. Aveugles, sourds, autruches, pas indifférents mais égoïstes, pas détachés mais conscients d'être impuissants. Allez au massacre, faites-vous mal, vous nous avez assez fait comprendre que nous ne pouvions plus rien. Vous ne nous épargnerez pas, je le sais, mais venez tard, laissez nous un peu de répit. Que nous soyons repus de tous nos festins quand vous viendrez enfoncer la porte.