On lit la phrase, on la lit jusqu'au bout, sans en perdre une virgule et, à la fin, là, quand l'œil bute contre le point final, on s'aperçoit qu'elle ne disait rien, la phrase, et qu'on a perdu du temps et de l'énergie, encore une fois. Et alors, on se prend à lire la phrase suivante, avec mauvaise humeur, en se disant Kronix, plus jamais, mais rien à faire, on réalise qu'on a bel et bien suivi le mouvement jusqu'au nouveau point final. C'est infernal, tiens, encore une phrase, il ne s'arrêtera donc jamais, mais cette fois-ci, juré, c'est la dernière, on ne peut pas se fiche du monde plus longtemps, et heureusement, l'auteur prend pitié (il en a un peu marre, aussi, tout cela ne l'amuse que moyennement, n'allez pas croire), et termine comme ça.
(on sent la fatigue, aujourd'hui...)
Commentaires
Les lecteurs pardonnent: sur (bientôt) trois mille notes, il en faut bien pour alimenter le Panthéon de la facilité! :)
Vous êtes bien bon.
auto-dérision, moi j'aime Kronix au doute.
Bravo pour votre blog magnifique. Je le lie immédiatement.
Oh, alors là, vous me flattez ! :)