Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

2671

On lit la phrase, on la lit jusqu'au bout, sans en perdre une virgule et, à la fin, là, quand l'œil bute contre le point final, on s'aperçoit qu'elle ne disait rien, la phrase, et qu'on a perdu du temps et de l'énergie, encore une fois. Et alors, on se prend à lire la phrase suivante, avec mauvaise humeur, en se disant Kronix, plus jamais, mais rien à faire, on réalise qu'on a bel et bien suivi le mouvement jusqu'au nouveau point final. C'est infernal, tiens, encore une phrase, il ne s'arrêtera donc jamais, mais cette fois-ci, juré, c'est la dernière, on ne peut pas se fiche du monde plus longtemps, et heureusement, l'auteur prend pitié (il en a un peu marre, aussi, tout cela ne l'amuse que moyennement, n'allez pas croire), et termine comme ça.

 

(on sent la fatigue, aujourd'hui...)

Commentaires

  • Les lecteurs pardonnent: sur (bientôt) trois mille notes, il en faut bien pour alimenter le Panthéon de la facilité! :)

  • Vous êtes bien bon.

  • auto-dérision, moi j'aime Kronix au doute.

  • Bravo pour votre blog magnifique. Je le lie immédiatement.

  • Oh, alors là, vous me flattez ! :)

Les commentaires sont fermés.