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Vers qui se tourner pour arracher cet écœurement ? Vers quel ailleurs diriger mon regard ? Et pleurer comme morte ma terre frileuse que je ne reconnais pas, mon antre, mon ventre, mon brouillard, mon pays.

 

(billet posté il y a moins de deux mois, mais de plus en plus le reflet de mon état d'esprit)

Commentaires

  • Vers les autres, les amis, les copains, tous ceux que tu connais et qui font que les jours sont beaux. "Ce sont les petits gestes du quotidien des gens ordinaires qui peuvent nous protéger d'un grand mal".

  • Oui, merci. Mais il arrive de plus en plus souvent de découvrir que les copains vers qui on se tourne, font eux aussi partie de la marche du mal. Et là...

  • Je ne sais que te répondre... sinon qu'il y a des irréductibles. Dans le milieu de la bd roannaise par exemple. J'ai souvent besoin d'un modèle en matière d'humanisme et d'humanité. Et je me tourne très souvent vers nos connaissances communes pour avoir des réponses en cas de doute ou de crise existentielle. Une ou deux personnes sont rassurantes dans leur discours tellement l'humanité leur semble une évidence. Je constate aussi que tous ceux que je connais qui luttent depuis longtemps (comprendre les plus anciens, hum...)semblent fatigués comme si être "humaniste" était éreintant. Courage, ne baissons pas les bras, surtout pas.

  • Oui, tu as raison. Merci. Heureusement, les moments de découragement sont de courte durée.

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