Toi, le malheur, sors-toi de là et aussi, écarte-toi du chemin des copains. Vire ! Toi, le bonheur, on t'oblige à rien mais sache qu'on t'apprécie. Tu peux rester. Même discret, même tranquille, sans bruit, c'est bien quand tu es là. On te le dit pas assez mais. Tu es un peu notre chouchou. Je sais : faut qu'on fasse gaffe. Qu'on prenne soin de toi. On s'y applique, on s'y applique.
Et une pensée pour l'ami qui a vu le malheur pointer son nez hier.