Nos rues, nos places, que notre distraction nous fait croire planes comme des marbres, mais dont la pluie dénonce soudain les enfoncements, les dépressions, l'âge, par l'apparition de grandes flaques d'or dans la nuit. Ces larges taches agitées de néons qui annoncent la défaite inéluctable des goudrons et des pavés.