Puisqu'en France, personne n'en parle, à part Assouline sur son blog...
La poésie en France, misère... Mais on s'en fiche, pas besoin de popularité pour donner au monde la couleur des mots.
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Puisqu'en France, personne n'en parle, à part Assouline sur son blog...
La poésie en France, misère... Mais on s'en fiche, pas besoin de popularité pour donner au monde la couleur des mots.
Commentaires
Si tu permets, je relaie l'info sur mon blog car Yves Bonnefoy est tourangeau de naissance !
J'ignorais. Pas besoin de ma permission, évidemment...
Je me demande souvent pourquoi la poésie se lit si peu désormais... J'ai moi-même suivi un enseignement littéraire, et je me rends compte que malgré les grandes émotions que m'ont provoqué Michaux ou Apollinaire, je ne lis plus du tout les poètes, qu'ils soient morts ou vivants d'ailleurs.
Est-ce parce que tout le monde a aujourd'hui la prétention de produire sans complexe de la poésie, et que, comme c'est le cas pour l'art contemporain, on n'arrive plus trop à cerner la limite entre le génie et la fumisterie? Est-ce sa démocratisation qui a signé la fin de la poésie?
Je m'interroge...
D'une part, je me demande s'il n'y a pas des périodes dans la vie, plus propice aux impacts poétiques. Certains romans ont des formes ou des styles, dont la force d'évocation peut pallier celle de la poésie.
Ensuite, elle vit toujours, la poésie... Et elle surprend. Mais la difficulté est d'être disponible à ce moment-là, que la rencontre ait lieu.
Bonjour Léo.
C'est un hasard heureux qui me fait retourner sur votre blog pour y lire votre note sur Yves Bonnefoy qui m'a d'autant plus interpellée que je venais de mettre sur mon blog un extrait du Cantique des cantiques, en me faisant la réflexion suivante: mais qui peut s'intéresser à cette forme poétique par les temps qui vont, à part moi? ....!...
Voyez...