Ce soir, à 18 h 30, vous pouvez me retrouver à la bibliothèque "Bonlieu", à Annecy.
Lectures et débat autour du "Baiser de la Nourrice". Vous savez, un bouquin que j'avais écrit. Un truc rigolo, fait pour le divertissement, léger et un peu complaisant, il faut l'admettre.
Voilà, si vous voulez venir me lancer à la face, devant un public surpris, que vous n'avez rien lu d'aussi superficiel depuis les considérations économiques d'Alain Minc, vous êtes quand même les bienvenus. Et puis si vous n'avez pas lu, pas grave : on vous racontera. C'est juste un mauvais moment à passer.
Commentaires
Ton seul problème, c'est de ne pas avoir assumé "et si c'était vrai?" et "demain, je viendrai te chercher mon amour" de ton vrai nom, en fait. Bonne rencontre, ce soir, sous la neige. Il faudra consulter nos calendriers, vraiment. Je regrette presque qu'on ne nous ait pas invités conjointement à dire du bien de nos contemporains!
Bonjour Christian, Bonjour Laurent,
Une rencontre conjointe ? Vous provoquerez sans doute une occasion plus proche dans le temps ,(ce que je vous souhaite), mais sachez que nous projetons pour juin 2011 (je sais, c'est loin, mais c'est peut-être l'assurance de la réussite du projet)de réunir les six auteurs Lettres Frontière invités ici, à Bozel : Karine Fernandez, Pascal Morin, Franck Pavloff, José Flore Tappy, Sorj Chalandon et bien sûr Christian Chavassieux. Alors on rajoute Laurent Cachard ? D'autant plus que notre coeur a balancé entre vous deux...
Nous promettons un accueil digne de la belle brochette d'auteurs que nous nous mettrons sous la dent ! Avec "une rencontre au sommet", au refuge du mont jovet à 2350 m d'altitude : un cadre idéal pour parler littérature et de "nos contemporains". D'autant plus qu'yves paccalet pourra être de la fête et nous servir de guide, dans tous les sens du terme !!
Alors le rendez-vous est pris ? Attention, ici, nous tenons nos promesses...
Alors là, Laurent, il faut dire oui. Qu'on se retrouve autour d'une tartiflette pour évoquer certaine partie de cache-cache, et moi, après quatre ou cinq verres de (c'est quoi le vin du coin ?), j'avouerai que "Fanfan" c'est moi. Na.