Ce n’est pas compliqué. Pour connaître si je suis au bon moment au bon endroit dans la bonne fonction, il suffit que j’observe mon corps. Si j’étouffe, qu’un carcan de plomb me réduit le souffle jour et nuit, c’est simple : je ne suis pas à ma place. Seulement voilà, certaines contraintes me dictent la patience. Et mon corps, toujours asphyxié pourtant, attend sa libération.