L'année commence mal, avec une disparition supplémentaire. Ma douce veut aujourd'hui revoir ce visage fermé qu'elle a connu rieur et complice. Un aller-retour sous le soleil de cette belle journée, pour considérer ce masque, qui s'apprête à fondre dans la nuit. Permettez-moi une pensée pour la femme seule, pour les amis pétrifiés, pour toutes les douleurs égarées qui voudraient un sens à tout cela. Je parle de tous les deuils, dont 2010 fut déjà riche. Priant le néant qu'il n'en soit pas ainsi pour 2011.