Je reprends mon tout premier manuscrit, parce qu'on me dit que peut-être, chez certain éditeur, il aurait à nouveau sa chance. Étrange de se replonger dans ce gros roman de Sf/politique-Fiction, cette masse où je tentais de tout dire, de tout mettre, de tout faire. La langue aussi a changé. C'était il y a plus de 15 ans maintenant, et je voulais montrer que je « savais » écrire. Alors, des phrases, des phrases, du vocabulaire en veux-tu en voilà (les modénatures austères, des costumes coruscants... quel est l'intérêt de placer de tels mots sinon pour se la péter ?). Il faut que j'envoie ça en octobre. Un chantier de plus alors que je n'ai pas encore fini « J'habitais Roanne ». Mais il se peut bien que j'arrive à tenir les deux projets de front. A part ça, j'ai des nouvelles pour « Les chants plaintifs », mais ça, ça me permettra d'écrire un billet demain.
Commentaires
peut-être à recycler en dictée pivotante ?
Tet' tu t'la pète mais "coruscant" là c'est pas le nom d'une planète dans Star Wars? Au moins souscris tu au jeu du multi-référentiel héhé...
Pascal : les vraies difficultés, pour moi en tout cas, ont toujours été grammaticales; le vocabulaire, après tout, ce n'est qu'une question de culture et de mémoire. La grammaire, c'est une saloperie de prise de tête avec des exceptions. et là, je ne suis pas bon.
Petrus : Lucas m'a plagier (phrase référentielle qui, en plus, mise en abymes oblige, illustre le propos ci-dessus) trop trop fort.
Quelle bonheur, je cherchais un point de vue sur ce sujet, et je suis tombé accidentellement sur votre site.