Toi, le gamin que j'ai giflé il y a plus de 20 ans, quand on m'avait laissé la charge d'une classe pour des ateliers de dessin, j'espère que tu t'es remis. Parce que moi, cette claque m'obsède toujours. Elle a fait son chemin, a sans doute inspiré mes pires cauchemars et mes hontes, mes doutes, mes renoncements, plusieurs dépressions... Bref, si je te retrouve, je t'en colle une autre.