Ce week-end, travail sur les corrections de "L'Affaire des Vivants". Pas tout à fait la dernière étape, mais on approche.
Il y a deux semaines, je lisais les deux derniers chapitres à mon ami François Podetti, en souvenir de quelques heures passées ensemble à la cinémathèque de Paris pour trouver les documents dont j'avais besoin pour écrire, justement, ce finale. Lecture émue, gorge serrée (j'espère causer la même émotion chez le lecteur) et pour moi, l'évidence qu'un détail clochait. Une légère digression, deux ou trois lignes qui contrarient le mouvement du dernier chapitre vers sa résolution. D'ultimes ajustements, donc, opérés depuis. Ce qui provoque l'étonnement et la gratitude de mon éditeur qui, paraît-il, ne voit pas autant de rigueur chez bien des auteurs. Mais c'est peut-être que, eux, sont plus immédiatement justes.
Et c'était la 2000e note de Kronix, les amis.