Il est difficile de décrire l'émotion qui naît pendant l'écriture des dernières phrases, les dernières lignes d'un roman. Quand la fin est là, au bout de la page, quand tout se recoupe, que la perspective de toute l'architecture trouve sa place et s'organise enfin. Il y passe de la jubilation, des regrets, une tendresse, une fierté, un soulagement. Quelque chose qui doit ressembler à l'émotion du marathonien sur les derniers mètres.