La réception commencera par un rappel de vos crimes, puis il y aura le témoignage d'une de vos victimes et, après une visite des camps et des charniers, la soirée s'achèvera par un son et lumières des ruines de la dernière ville que vous avez bombardée. « Mouais, je ne sais pas... » maugréa le dictateur, qui n'aimait pas les hommages trop ostensibles, même pour son anniversaire.