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Au Clair de la lune

Les relations de Pierrot et Colombine illustrent parfaitement le principe que les atouts de la ressemblance sont un leurre. Le blanchâtre Pierrot chante à la lune pour séduire sa belle. Qu'attend-t-il en réalité ? Sa complémentaire : une tigresse en cuissarde et guêpière prête à lui arracher sa collerette et à le démaquiller à grands coups de langue. Et Colombine ? Je parie que le fade et évanescent Pierrot la laisse de marbre et qu'elle ne descendra jamais de son balcon pour s'enticher d'un type habillé et maquillé comme une poule. En fait, sous prétexte de se ressembler, ces deux-là sont les plus affligeants exemples de liaison vouée à l'échec et le diable si j'arrive à me souvenir de ce qui m'a amené à cette puissante réflexion.

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