Hors un bémol sur les "ellipses temporelles un peu bâclées" (prends ça), plutôt un bel hommage rendu au genre épique, dont "Les Nefs" se veulent. C'est sur Daylimars, sous la plume de Déborah Gay, qui s'est donnée la peine d'illustrer son billet avec d'autres peintures de John Martin que la couverture du livre.
De chronique en chronique, toujours un parcours rassurant, jusque là. Un jour, je ferai un point et répondrai aux diverses critiques (fondées, oui, mais j'avais mes raisons).