Elle connut ce jour-là en déféquant un soulagement inédit, tellement intense qu'il l'effraya. Elle n'osa pas regarder en s'essuyant et ferma l'abattant prestement en tirant la chasse. Elle le fit plusieurs fois car il y avait au fond de l'eau comme un gargouillis qui résistait. Après, elle dut se faire violence pour retourner aux toilettes, car elle entendait des bruits de raclement et des chocs dans la canalisation. Elle déversa des produits, de la soude, de la javel, tira frénétiquement la chasse. Enfin, après trois jours, le silence était revenu.