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Pasiphaé_Yann-Guillotin.jpgCe soir, au Point du jour, c'est la dernière de Pasiphaé. Une fin mais aussi ce qu'on peut considérer comme un seuil vers autre chose. C'était le but. Répondre à l'invitation de la directrice de cet établissement était un pari coûteux pour nous (il était évident que les entrées ne compenseraient pas l'investissement trajets, hébergement, salaire des artistes, etc.) mais une expérience nécessaire. Il s'agissait de faire connaître notre travail à des professionnels qui ne seraient jamais venus à Roanne ni même à Saint-Étienne ou Lyon. Je poste ce billet au matin de l'avant-dernière séance, quelques minutes avant de partir rejoindre l'équipe à Paris, je ne sais donc pas comment s'est passé la dernière représentation, mais j'ai assisté aux précédentes et je sais que notre pièce est solide à présent, je sais qu'elle dérange et déroute, je sais qu'elle vit et capte son public. La Compagnie est très fière du résultat. Ce qui adviendra après cela ? Nous verrons. Dores et déjà, nous avons tenu le pari de montrer au public la meilleure Pasiphaé possible. On peut lire dans ce billet ma reconnaissance à Fanny Laudicina, François Frapier, François Podetti et Marc Bonnetin qui ont mis temps, énergie et talent au service de cette aventure parisienne. Elle ne fait que commencer, j'en suis convaincu.

 

Photos Yann Guillotin.

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