Oui, pleurons sur Alep. Évitons surtout que nos larmes ne sèchent sur nos joues, comme se sont évaporées celles que nous versâmes sur Grozny.
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Oui, pleurons sur Alep. Évitons surtout que nos larmes ne sèchent sur nos joues, comme se sont évaporées celles que nous versâmes sur Grozny.