Je pense à tous ces martyrs de la route. Aux veuves des gendarmes sacrifiés, couchés stoïques sur le bitume pour notre sécurité. Et ces pauvres zèbres écrasés, étirés et collés sur le goudron. Et je ne parle pas de ces infortunées buses, enterrées sous la chaussée pour évacuer les eaux pluviales. Et j'en connais qui grognent encore malgré cet holocauste. Ah, quelle inconséquence !