La colère nous épuise. La nôtre et celle des autres. On aspire à une paix qu'on se refuse soi-même, qu'on n'obtiendra que par extrême lassitude, au bout de nos révoltes. Il s'agira donc d'un abandon, d'une défaite, et voilà qui nous met encore en rage. Vivants ?
Commentaires
Oui mille fois oui !
Signé "une présence froide et pure qui ne veut pas partir "...