Le client : « Et… Die Hard 3, c’est bien ? »
Le vendeur : « Ah oui oui, c’est très bien. »
Le client : « Et Bad boy’s, c’est bien, ça ? »
Le vendeur : « Oui, bien, bon film. »
(Je souris, je me dis que de toute façon, le vendeur trouve forcément tous ses films excellents),
mais le client poursuit son enquête : « Et Vercingétorix de Lambert là, c’est bien ? »
Et le vendeur, dans un élan : « Ah non, non non. C’est nul. »
Mon sourire s’élargit. Il y a donc une déontologie du vendeur de vidéo club. Mais il doit falloir faire fort, quand même, pour rebuter son sens critique.