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Transformation(s)

En ce moment, j’écris des dizaines et des dizaines de courriels à tout le monde, en commençant par les amis, pour « promouvoir » le Baiser. Les réponses sont magnifiques, et me voici en partie rassuré sur l’accueil de mon bouquin notamment lors de la première dédicace, en terre natale. De son côté, ma douce, pour qui écrire signifie toujours dessiner des mots sur du papier, passe des heures à vanter mon travail auprès de ses amis et de ses anciens clients (une longue histoire, par les archives de Kronix vous pouvez en savoir plus, mais j’y reviendrai bien un jour). D’autre part, on m’a demandé de participer à une exposition autour du ballon de rugby (cherchez pas à comprendre). Nous serons une soixantaine de peintres à s’emparer de ballons pour les magnifier et les transformer. J’avais d’ailleurs proposé le titre « Transformation(s) », mais bon, ils n’en ont pas voulu, et ce sera l’exposition « Essais d’art ». Les ballons seront vendus au profit d’une association caritative.

Le mien sera recouvert de pièces de monnaies, de perles et de strass (je n’avais pas assez de diamants). Je dois en être à 150 pièces de 1 centime. C’est très joli. Assez lent, mais joli. Ces jours-ci, le soir, c’est ambiance veillée rurale : ma douce gratte du papier, moi je colle des pièces, une à une. On discute, la musique nous berce, il fait chaud. Vous voyez ce que je veux dire ?

Commentaires

  • Oauis, je vois. Une certaine idée d'un bonheur certain. On les rend quand ces ballons? Putain, j'suis à la bourre moi. La faute à... tous ces grains de sable blancs tiens, pourquoi pas?

  • Demain, mon petit. Demain. Je viens de le finir.

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