Les premières réactions de lecteurs de « J'habitais Roanne » commencent à venir, par mail ou témoignage direct, et puis il y a la blogosphère. Pour l'instant, tout va bien.
Sur son blog, l'auteur des Calamités quotidiennes évoque sa gourmandise de Roannais à retrouver ses marques et ses lieux. Je ne sais pas si je peux citer son nom ici, aussi suis-je contraint de le remercier anonymement.
Laurent Cachard, lui, n'est pas roannais, et je dois dire que j'attendais avec un rien d'anxiété ce que cet exigent lecteur et auteur allait penser de ce parcours singulier dans une ville modeste et inconnue. Ce qu'il en dit est à lire ici, sur son blog, et je dois dire que son texte m'a cueilli. Laurent a su restituer dans son article les enjeux essentiels qui traversent le livre, et il l'a fait avec beaucoup d'humanité, de sincérité, d'intelligence. Je sais que ce n'est pas seulement par amitié, mais parce qu'il a vraiment aimé. Alors, je suis très fier de vous proposer d'en prendre connaissance. D'un point de vue purement formel et littéraire, c'est déjà un régal, ça compte.
Commentaires
Merci Christian de ta délicatesse,même si j'adore Zorro et que je signe d'un "Calamiteux" pseudo,s'il le faut,dans l'avenir,tu pourras me citer dans mon "intégralité"!
Il vous en prie. Aucune complaisance: pas le genre de la maison non plus. Indépendamment du genre, la scène de l'enfant moquée est une scène qui restera, chez moi, comme une des plus belles scènes jamais écrites. Et cette balade roannaise mérite(rait) un traitement médiatique beaucoup plus poussé. Bravo à toi.