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Aurélia et le cerisier

Un rendez-vous réussi, c'est rassurant, cela donne à croire qu'on peut parfois contrôler la vie, lui faire les cadeaux promis, tels qu'imaginés longtemps avant. C'était sous le cerisier, c'était tout à l'heure, et c'était comme prévu, un verre de blanc frais à la main, avec le soleil pour compagnon. Il s'agissait de préparer la rencontre du 16 octobre, au Tramway à Lyon. Une idée de Laurent Cachard, m'invitant dans sa librairie préférée. Une bonne idée, donc.
Forcément, tandis que Laurent, venu expressément chez nous pour cette raison (et grand merci à lui), évoquait les questions qu'il poserait et que j'esquissais les réponses qu'elles m'inspiraient, nous échangions des réflexions parallèles et complices, et réalisions cette évidence : les mêmes contraintes romanesques et historiques placent les auteurs face aux mêmes interrogations. C'est que Laurent, dans le même temps, pense à son travail actuel sur Aurélia, qu'il achève en ce moment-même. Ce que lui dis de mon « Affaire », du processus qui a présidé à son écriture, fait écho aux problèmes qui fondent son actualité scripturale.
Des livres certainement très différents, deux univers, et un impeccable renvoi d'expériences. La rencontre d'aujourd'hui était très belle, elle augure d'une belle soirée, le 16.

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