Canicule. Tout s'évapore, même l'envie de travailler.
La tête encore toute sonnée de l'ultime relecture des mes « Nefs... » avant impression, incapable de reprendre l'écriture d'un récit qui se déroulerait au XVIIIe siècle français. Pour une fois, aujourd'hui, je vais m'accorder des vacances. Une journée, une seule, que ça ne devienne pas une habitude.
(et toutes mes excuses pour l'absence d'hier)
Commentaires
On se calme et on boit frais...
Et on va à la pistoche !
Et on kronix sa mère !