Cette fois, par un écrivain ! Laurent Cachard embrasse tout le récit, s'interroge et, autant vous prévenir, spoile un peu. Les lecteurs prudents attendront donc d'avoir fini (ou d'avoir au moins avancé des deux-tiers), les Nefs, pour prendre connaissance de cette superbe et riche chronique.
Je lui suis d'autant plus reconnaissant que cette forme ne lui est pas habituelle et que je l'avais mis à l'aise : dis-moi juste ce que tu en penses, tu n'es pas obligé de chroniquer (oui, parce qu'on se connaît, et ça, ce n'est pas trahir un grand secret).