"Voler avec des machines plus lourdes que l'air ne présente aucun intérêt, et d'ailleurs c'est totalement impossible". Simon Newcomb (1835-1909)
"Les voyages en chemin de fer à grande vitesse sont impossibles, car les passagers, incapables de respirer, mourraient promptement d'asphyxie." Dr. Dionysys Lardner (1793-1859), professeur d'histoire naturelle et d'astronomie à l'University College de Londres.
"Aucun paquebot ne pourra jamais traverser l'Atlantique, puisqu'il lui faudrait consommer plus de charbon qu'il n'en pourrait transporter." Le même.
"La terre n'a ni membres, ni muscles, elle ne peut donc effectuer aucun mouvement." Scipio Chiaramonti.
"Beaucoup trop bruyant, mon cher Mozart, beaucoup trop de notes !" Ferdinand d'Autriche, après la première de l'enlèvement au Sérail.
"Je n'accepte pas plus la théorie de la relativité que je ne peux admettre l'existence d'atomes et autres billevesées". Ernest March (1836-1916), professeur de physique à l'Université de Vienne.
"Rembrandt ne saurait en aucun cas être comparé, en tant que portraitiste, à notre merveilleux artiste anglais Rippingille." John Hunt (1775-1848).
"L'énergie produite par la fission de l'atome est ridiculement faible. Ceux qui s'attendent à une nouvelle source d'énergie atomique prennent des vessies pour des lanternes." Ernest Rutherford (1817-1937), après avoir réussi la toute première fission atomique.
"J'irai chercher la croissance avec les dents." Nicolas Sarkozy.
"Je vais écrire un blog. J'aurai plus de lecteurs, comme ça." Christian Chavassieux.
N.B. : Toutes les phrases (sauf les deux dernières) sont extraites de l'excellent "Livre des bides" de Stephen Pile. Livre épuisé, jamais réédité, dont la lecture est pourtant conseillée pour la santé.
Commentaires
C'est fin ça se lit (et se relit) sans fin ça se mange sans faim. Je suis dans un état (pas de grâce ô Ciel non). Offre-moi donc encore un peu de ce précieux nectar que je m'y brûle les entrailles au poison de sa suggestion. Mais quelle horreur et déshonneur ! Voilà, au lieu de m'enivrer de douces paroles je m'enivre tout court, voilà ce que ça donne quand on traîne trop longtemps sur le net ! On y fait de drôles de rencontres, voilà !!! (et je ris, encore !)