Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

3818

La deuxième fois qu'une femme m'a déçu, j'avais peut-être une vingtaine d'années. Elle descendait un escalier greffé à un immeuble, sans me voir. On se retrouve en bas, où je l'attends. Je ne veux pas l'aborder, juste la regarder parce qu'elle est très jolie et que, de tout son corps, rayonne une sensualité difficile à ignorer. Comme elle approche, je reconnais son visage : nous étions voisins dans le train, il n'y a pas si longtemps. Pendant tout le voyage, nous avions discuté agréablement. Je ne me souviens pas précisément de notre échange, mais j'en garde une impression de plaisir où, là aussi, entrait de la sensualité. Cela me donne un prétexte pour engager la conversation. Je lui dis bonjour, elle me dit t'es qui connard et je me réveille. Très désappointé.

Commentaires

  • Ne jamais confondre le train-train et le quotidien.

Les commentaires sont fermés.