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Quand je travaillais sur "Martin Sourire", j'ai été, comme tous ceux qui ont abordé cette figure, fasciné par Marie-Antoinette. Et j'avais un peu atténué la frivolité de son portrait par plusieurs rappels : la dignité de sa mort, son amour tragique pour ses enfants, et son amour pour Axel de Fersen. En voici une que je ne suis pas parvenu à détester, non plus que son pauvre mari, non plus que la plupart des personnages qui traversèrent ce temps. A qui, aujourd'hui, devons-nous appliquer la même bienveillance, tandis que leurs actes publics nous révoltent ? Seront-ils eux aussi rachetés par un amour caché et malheureux ?

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