Travail de corrections sur la première partie de « Mausolées ». Peu de choses mais des moments ardus. Ma correctrice est à l’affût du moindre poncif, de la moindre facilité. Je ne suis pas complaisant, mais j'admets que, malgré tout mon travail de réécriture sur ce roman ancien, j'ai laissé passer quelques images paresseuses, des idées un peu convenues, par manque de vigilance. Rien de tout ça n'échappe à l'oeil de faucon de ma correctrice. Et c'est tant mieux. Chaque réécriture de ces faiblesses rehausse l'ensemble. Ce que j'attends du travail avec un éditeur.
Commentaires
Souffrance et jubilation mêlées. Mais la perspective d'un travail bien fait, sans le cliché qui va avec l'expression.