Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Que je vous dise

Hier, vendredi, j'ai donné par téléphone à Agathe, la très gentille et patiente et sympathique assistante du directeur d'édition, les ultimes corrections de « L'Affaire des vivants ». Corrections orthographiques (très peu, j'avais bien travaillé) et typo (beaucoup, à cause d'un parti-pris assez inédit de code particulier pour les dialogues). Voilà. Bouclé, terminé. La prochaine étape, c’est l'impression. Puis les services de presse.
Un quart d'heure après ce long échange téléphonique, j'écrivais à Agathe pour lui demander d'apporter deux petites et ultimes corrections. J'avais eu le malheur de relire les deux premières pages.
Il faut savoir lâcher son bébé. C'est difficile.

Les commentaires sont fermés.