Que je vous explique : même avec un accord préalable d'un éditeur, je ne suis jamais sûr que le livre sur lequel j'ai travaillé un, deux ou trois ans, sera finalement publié. Je ne suis jamais certain qu'un manuscrit correspondra aux attentes ou aux espoirs d'un éditeur. L'échec est toujours envisageable. Ce que je ne vous explique pas, par contre, ce sont les angoisses inhérentes à ces inconnues, puisque c’est désormais ma seule source de revenus. Rien n’est donc sûr tant que le contrat n'est pas signé. Pour « Les Nefs », je viens de recevoir le document magique. Vous n'imaginez pas le soulagement que c'est.
Commentaires
Si,et même une certaine euphorie bien justifiée