Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Parlons cuisine

Le mois dernier, il y a eu des changements chez l'un de mes éditeurs. Angoisse. Le nouveau directeur d'édition allait-il consolider certains choix de son prédécesseur, et notamment celui de me publier ? Il vient de m'appeler, chaleureux, délicat, agréable. Il voulait avoir lu "L'Affaire des Vivants " avant de me contacter. Il a beaucoup aimé mon roman et, "bien sûr", suivra mon travail. Un rendez-vous est d'ores et déjà fixé, où je lui donnerai les premiers chapitres du prochain manuscrit que je destinais à cette maison. Soulagé. Vraiment. A partir de maintenant, je peux considérer que j'ai deux éditeurs, que je vais pouvoir (mais aussi devoir) leur fournir régulièrement des textes, et qu'ils me seront fidèles. C'est un luxe qui me réjouit et valide le choix de vie décidé l'an dernier. Parce que, comme je le programmais de toute façon, il faut que je parvienne à écrire un roman en un an et demi, guère plus, et enchaîner les livres sans délai. C'est beaucoup, beaucoup de travail. Ce sera épuisant, ce sera difficile, ce sera merveilleux.

Commentaires

  • Je retiendrai surtout le dernier adjectif. Un ou deux Chavassieux par année et demie, quel luxe pour nous!

  • Trop gentil !

  • Belles perspectives! Pour toi, pour nous.

  • Nous nous réjouissons avec vous.

Les commentaires sont fermés.