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    Le salon du livre de Saint-Etienne s'appelle "La Fête du livre". Réjouissons-nous donc, même si c'est dur à prononcer (joui-sson-nou-donc).

    J'y suis invité et, joie supplémentaire, sur le stand de la librairie "Le Quartier Latin", au côté de Jean-Noël Blanc. J'y défendrai les couleurs de mon petit dernier "Mines, rives et Minotaure", coédité par Le Réalgar et la Ville de Saint-Etienne. Un texte inspiré par mon séjour (une résidence d'auteur), de plusieurs mois dans ladite cité.

    Il sera justement question des relations entre Saint-Etienne et l'écriture lors d'une table ronde, en compagnie de l'excellent Lionel Bourg et d'autres auteurs (non moins excellents sans doute, mais dont je n'ai hélas rien lu) : Pierre Mazet, Grégory Mazenod et Jean-Louis Pichon. Nous tenterons de cerner les conditions par lesquelles Saint-Etienne est une ville romanesque. Pour cela, c'est la prestigieuse Ecole nationale Supérieure d'architecture de Saint-Etienne qui nous accueillera (et je m'aperçois qu'il vaudrait mieux que je commence à songer à y dire des choses intelligentes). Samedi 19, à 11h30.

    Et, en dehors des interviews sur RCF et France Bleue, on pourra me retrouver au Musée de la Mine pour une lecture-déambulation-rencontre, le samedi à 14 heures, et le dimanche à 10 heures.

    Le reste du temps, dès vendredi 15 heures, je serai, gentil et patient, sur le stand du Quartier Latin, pour signer des livres, comme il se doit, et ce, jusqu'au dimanche 18 heures (ou jusqu'à ce qu'on me dise "faut y aller maintenant, hein ?").

    Enfin, comme j'aurai un peu de temps vendredi, je compte bien rendre une petite visite au salon des éditeurs, une sorte de méga-off, à la bourse du travail.