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Il a fallu faire un choix, et cela pousse à donner ceux qu'on a écartés. C'était hier, pour l'excellent site L'Ambidextre que je vous invite à découvrir, site d'actualité culturelle dont j'ai eu, il y a peu, les honneurs avec un portrait assez complet et stimulant d'un certain Olivier Melville. Dans la foulée, L'Ambidextre m'a demandé de choisir un « son ». Ce que je voulais : musique classique, pop, chanson… Je me suis arrêté sur le magnifique « Comme un légo » de Gérard Manset interprété par Bashung. Mais, comme je le dis dans mon explication, c'est l'humeur du moment qui me l'a fait privilégiée. Je ne regrette pas, au contraire, seulement je profite de mon blog pour compléter ma liste, cruellement restreinte (c'est le jeu). J'aurais donc pu choisir, selon l'envie et le moment :
Henyik Gorecki : "Symphonie des chants plaintifs"
Sibelius : « Kullervo » ou « Skogsraet »
Florence Foster Jenkins (qui me met toujours dans une humeur particulière, entre fou-rire et désespoir) : « La reine de la nuit »
Abel Korzeniowski : BO de « Nocturnal animals »
Brel : « Ces gens-là »
Joanna Newsom : « Emily », de l'incroyable album « Ys » qui, apprends-je par wikipédia, fait partie des 1001 qu'il faut avoir écouté dans sa vie, ce qui ne veut rien dire, nous sommes d'accord, mais je suis heureusement surpris qu'un disque, que j'ai découvert, moi, complètement ignare, par hasard, soit à ce point universel)
Philip Glass : Itaipu (avoir de bonnes basses)
Oldelaf : La tristitude (même si, aujourd'hui, cette chanson est tellement imitée, il ne faut pas nier sa qualité originelle)
Pomme (découverte grâce à une amie interprète que je vous propose aussi de remarquer : Libellule Dorée) : « On brûlera »
Barbara Pravi (découverte grâce à l'algorithme de Youtube à partir de Pomme) : le Malamour
Tout « Volk You » (mais on ne trouve que des teasers sur Youtube, il est donc conseillé d'acheter leur premier album si on veut savourer). Il faudra qu'on en reparle, parce que d'excellentes choses se profilent pour le groupe emmené par Jérôme Bodon-Clair.

Et Satie, et Stravinsky, et Ravel, et Arvo Part, et Bernstein, et Mica Levi, Tom Waits, et Queen, et Anne Sylvestre, et Bigflo et Oli (si, si), hurle ma conscience ? Ajoutez-les, ajoutez encore Poledoris, Desplats, Fauré, Purcell, etc, etc.

Etc, parce qu'on n'en finit pas de s'émerveiller. Et les choix dans ce vertige de milliers d'années sont impossibles. Impossibles. Quelle chance, quelle malédiction de vivre en des temps où la création dépasse nos capacités de perception !

 

Commentaires

  • Penderecki n'est pas dans ta liste, mais comme il s'en fiche, à présent...

  • Et tant d'autres... M'en vais vite le découvrir. Merci.

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