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Le chant du Limule

"Me défaire de tout" pour ma douce et moi, est la chanson symbole de la pièce "le rire du Limule" et de son propos. Mise en musique par Jérôme Bodon-Clair (dont on retrouvera le travail, sous la forme d'une symphonie, dans la prochaine pièce de la compagnie NU), "mimée" sur scène par Virginie Noël, interprétée par Amandine Correa et mise en scène par François Podetti sous la lumière de Dominique Dupin (quel monde il faut pour obtenir certain résultat...), elle est ici filmée par Yohann Subrin.

J'ai découvert ce lien hier, j'ai trouvé bien de vous le faire partager. Comme la prise de son est parfois défaillante, je vous donne le texte, ci-dessous :

Je n'avais pas de pistolet, mais des envies de fin du monde
Je n'avais pas de guillotine, mais une soif pour mes petits
Je n'avais pas de bombardiers et pas de pièges pour les colombes
Je n'avais pas de sabre aux dents, pas de couteau, pas de fusil
J'ai juste voulu, un jour, juste voulu
Me défaire de tout
Me défaire de tout


On détruirait bien des bastilles, on referait souvent Paris,
Si on avait pour seule fortune, la terre des tombes que je rejoins,
J'ai pas voulu prendre les villes, et j'ai abandonné Paris
La fin du monde est pour les autres, moi je m'en vais seul(e) dans mon coin
J'ai juste voulu, un jour, juste voulu
Me défaire de tout
Me défaire de tout


Je vais là où le vent a planté mes racines,
grimper quelque rocher, troubler quelque ruisseau,
Regarder le soleil verser le vin du soir sur les collines,
Et repenser que j'y peux rien si les humains sont comme ils sont
J'ai juste cru, une fois, j'ai juste cru
Qu'on changerait tout
Qu'on changerait tout.

Commentaires

  • Oui j'ai moi aussi réécouté cela avec une certaine émotion, une petite parenthèse un peu magique ... Tu as oublié de mentionner le très bon Benoît Bel aux commandes (ingé son) pour l'enregistrement studio du titre, mais rien de grave, je comprends, passé le demi-siècle et on oublie tout, on oublie tout.

  • Et oui. Je compte sur l'indulgence de Benoît, qui est jeune, lui.

  • Et oui. Je compte sur l'indulgence de Benoît, qui est jeune, lui.

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