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Un journal local veut informer ses lecteurs sur les relations auteurs-éditeurs, et je lis, concernant les écrivains de ma région (je résume) : « Certains auteurs préfèrent une meilleure diffusion et choisissent un grand éditeur. » Ils préfèrent... Ce n'est pas qu'aucun éditeur ne veut de leur bouse, c'est seulement qu'ils "préfèrent". Donc, tu ponds ton roman, tu téléphones à Gallimard (ou au Réalgar, par exemple): « Bon, maintenant, j'en ai marre de diffuser mes plaquettes auprès de ma famille et de mes amis, alors, je vous envoie mon manuscrit. Démerdez-vous, faites-moi ça bien et envoyez-le dans tout le pays, OK ? »
Je vous conseille de pratiquer comme ça. Surtout, après, vous me dites comment vous avez été reçus.

Commentaires

  • Mal, je le crains fort. Je trouve tes manières un peu expéditives mon cher Christian. Je peux te dire "mon cher" ? Parce que tu l'es, cher, à mes yeux, depuis le temps que je te lis. Nan on se connait pas, j'aurais bien aimé mais le Destin en a décidé autrement. Mais finalement, avant de faire un petit et ultime tour dans la Ville Lumière, je vais te lire encore un petit peu... parce que je suis fidèle Oui Monsieur ! Fidèle, quel drôle de mot. Mais j'aime les mots drôles alors je viens ici, enfer et contre tous :)

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