Ces combats que nous n'avons pas menés, laissés à d'autres. Plus forts que nous, plus intelligents que nous, plus combattifs ou résolus que nous. Et qu'ils ont perdus. Nous n'avions pas perçu que nous étions les renforts, l'assise, l'arrière. Qu'en notre sein naissait la vague suivante. Tout accablés de notre faiblesse, nous n'avions pas vu que nous étions leur socle. Et qu'ils avaient besoin de nous.
Commentaires
Tu l'as (bien) écrit !
J'aime à penser que je fais partie (aussi) de cette "arrière" garde.